Pandora a changé. Si la planète où se déroulaient les évènements du premier volet reste le théâtre de l'action de ce nouvel épisode, de nombreuses nouveautés sont attendus.
On découvre d'abord que Pandora n'est pas qu'une terre aride directement inspiré du film Mad Max, l'aventure nous entraînant cette fois-ci dans des cadres plus variés, tel que des environnements gelés ou volcaniques mais aussi des lieux à la végétation luxuriante.
Randy Pitchford, le président de Gearbox Software, s'en amuse même en déclarant que son équipe de développement a enfin découvert la couleur verte après de nombreuses recherches.

Et le résultat surprend très agréablement tant l'utilisation des couleurs s'annonce remarquable. Dans Borderlands 2, Pandora se retrouve sous la suprématie de la société Hyperion, dirigée par Handsome Jack qui s'est lui même autoproclamé dictateur de la planète.
Les scénaristes du jeu veulent faire de cet antagoniste un personnage marquant que ceux que l'on peut voir dans Bioshock ou Portal.
Comme GlaDOS, la rencontre avec cet adversaire sûr de sa force s'effectue généralement à distance (via des messages radio notamment) et chacune de ses apparitions n'annonce rien de bon.
Par ailleurs, l'hégémonie d'Hyperion est telle qu'elle dispose d'une base sur la lune de Pandora d'où elle peut larguer des robots d'attaque dès qu'elle connaît la position des personnages partis en guerre contre Handsome Jack.
Laissé pour mort dans la toundra de Pandora, Salvator, Maya, Axton, et Zeo disposent heureusement d'un nombre astronomique d'armes en tous genres pour assouvir leur soif de vengence.

Et si le gameplay ne devraient pas trop changer dans ce second épisode, il s'agira toujours d'une fusion entre FPS et RPG. Son maître mot devraient être la multiplication d'armes, d'ennemies, d'une IA améliorée, et capable de jouer davantage d'environnement. Le décor est posé et tout semble augurer du meilleur pour notre retour sur Pandora.