JeuxVideo.COM Quel bonheur de retrouver un jeu PlatinumGames digne de ce nom ! Comme à son habitude (ou presque), le studio japonais livre un titre au gameplay quasi infaillible, qui nous fait vivre une expérience particulièrement intense. Les fans de Kojima ne seront pas totalement dépaysés et y trouveront même leur compte, tant l'aura du maître se fait sentir dans la narration du jeu. Certes un peu court, on ne peut qu'être enthousiaste au contact de ce Metal Gear Rising : Revengeance, qui se doit de figurer dans la ludothèque de tous les amateurs d'action. La version PC, proposée à une vingtaine d'euros, marque l'ouverture à un public plus large qui sera sans doute comblé par ce titre au plaisir immédiat, à défaut d'être illimité.

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JeuxVideo.FR Sous son habillage Metal Gear, Rising reste un Platinum Games pur jus. Comme Vanquish, il n’est pas un produit idéalement calibré pour les consommateurs de jeu mais plus un diamant brut que les joueurs investis arriveront à tailler de la manière qui leur plait. Perfectible, Revengeance l’est certainement. Dynamique, nerveux, jouissif et parfois drôle aussi. Certains attendront un repositionnement tarifaire ou son arrivée en occasion, d’autres se jetteront dessus au prix fort : quoi qu’il en soit, day one ou dans deux ans, Metal Gear Rising : Revengeance restera la meilleure simulation d’artisan boucher sur consoles, et donc un jeu d’action largement recommandable pour les joueurs à qui le style Platinum ne file pas d'urticaire. Si on n'évite pas quelques soucis récurrents chez le développeur japonais, comme la campagne bien vite expédiée ou une certaine tendance au recyclage, on n'échappe pas non plus à son savoir faire chirurgical en matière de gameplay. Non seulement Revengeance ne perverti jamais la licence dont il est issu, mais il lui apporte un nouveau souffle dont Kojima Productions pourra s'inspirer à l'avenir. On appelle ça un très bon spin-off.

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JeuxActu Projet bâtard qui a connu un développement aussi haché que les restes des ennemis après un passage du Zandatsu,  Metal Gear Rising Revengeance s'en sort avec des honneurs portés fièrement. Très court et pas vraiment bien fini, le jeu de PlatinumGames et Kojima Productions souffre clairement des allers-retours sources de tensions qu'il a subi. Mais dans ce contexte de relation amour-haine pour l'oeuvre de Kojima, il parvient à donner une expérience de jeu à la rare intensité au joueur. Trip de quelques heures,  Metal Gear Rising Revengeance est un festival de séquences marquantes, de combats de boss qui sont autant de courses de fond extatiques et de vrais beaux moments de narration, surprenants par leur âpreté. Bourré d'un humour décalé et de quelques piques bien senties sur la série de Kojima, le jeu est un enfant terrible, un fils de la liberté, qui ne s'empêche jamais de donner du plaisir au joueur.

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Gamekult Metal Gear Rising Revengeance porte la marque de PlatinumGames. Dans ses très bons côtés comme dans ses quelques travers. Depuis Bayonetta et Vanquish, rares ont été les jeux capables d'offrir cette sensation de toute-puissance, cette plénitude dans la destruction. Des mouvements de caméra étourdissants aux animations qui dézinguent, en passant par les bruitages tout droit samplés d'une presse métallique, tous les éléments s'imbriquent ici pour ne retenir que le plaisir, celui du joueur. Alors oui, Rising Revengeance rappelle par moments son accouchement difficile avec des environnements assez inégaux, un système de jeu qui reste en surface et surtout une fin expédiée, qui compte encore sur le challenge annexe pour maquiller une durée de vie au ras des pâquerettes. Mais réjouissons-nous déjà de pouvoir accueillir un jeu d'une telle trempe au terme d'un développement si mal embarqué. Brillant, épuisant, et doté d'un joli savoir-faire : Metal Gear Rising n'est peut-être pas l'amour d'une vie, mais le super coup d'une nuit. Version PC : Un an après, la grenade dégoupillée de PlatinumGames s'autorise une petite volte sur PC, histoire de montrer aux bouffeurs de pixel art ce que le jeu d'action consoles réserve de plus explosif. Interdiction formelle d'y jouer au clavier / souris, d'ailleurs, même si c'est tout à fait possible dans les cas extrêmes, à condition de bien mémoriser la config. Car oui, Metal Gear Rising Revengeance fait partie de ces jeux qui exigent une bonne vitesse d'exécution et un minimum de précision, même si le système de parade / esquive est au final moins exigeant qu'on ne le pense de prime abord ; voir plus bas dans le test d'origine. Mais pour ce qui est de découper les ennemis en petits morceaux et de viser leur point faible, on conseillera à tous de se munir d'une manette, et de saisir éventuellement la souris pour naviguer dans l'interface. Une souris dont le pointeur a d'ailleurs souvent tendance à réapparaître au milieu de l'écran entre deux sous-menus, mais passons. Pour ce qui est du portage technique, Konami a rendu une copie propre quoiqu'imparfaite. Les environnements génériques et inégaux (un synonyme de terne et moche) ne se sont pas transformés en fleurons d'architecture d'un coup de barrette magique. Il arrive même assez souvent que certains éléments du décor s'amusent à popper une fois arrivé à distance raisonnable. Face à la qualité de la modélisation des personnages, encore plus poussée maintenant que l'AA 8x fait son boulot, le contraste pourra étonner les PCistes les plus exigeants. Même topo du côté des cinématiques, archi nombreuses, qui sans être compressées ne bénéficient pas du même soin d'affichage que les phases de jeu. Dommage enfin de voir que la résolution comme le frame rate restent bloqués sur 1920x1080 et 60 FPS même sur des machines de guerre. C'est évidemment un confort quand on vient des versions consoles au demeurant vraiment fluides, mais là encore, on comprendrait que les plus acharnés tiquent. Le titre tourne du reste correctement sur un PC moins armé (on a essayé sur une GeForce GT 640, pour le fun), preuve qu'on est loin d'un portage misérable dont certains éditeurs japonais nous ont gratifié par le passé. Côté contenu, on rappelle que cette version inclut d'office tous les DLC, même s'il faudra ruser pour les débloquer illico (ce bon vieux Konami Code), sans quoi il faudra finir le jeu au moins une fois. Dans tous les cas, on pourra essayer les missions annexes mettant en scène Sam Jetstream, qui a la capacité de concentrer ses attaques, et du robot chien-fou adepte du lancer de couteaux. En incluant les missions VR et leurs environnements gris-jaunes, la durée de vie initiale du jeu particulièrement courte peut allègrement doubler, ce qui la porte au-delà de la dizaine d'heures. Seul vrai souci majeur pour le moment : l'obligation d'être connecté pour profiter du jeu, Rising refusant de se lancer correctement en cas de perte de connexion, quand il ne plante pas. Konami semble déjà au courant et devrait même remédier au plus vite à la situation. Il est donc possible que vous ne soyez pas affecté par ce problème au moment de découvrir ce fleuron du jeu d'action.

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GamerGen Les plus Particulièrement fluide Raiden toujours aussi classe et sanglant Durée de vie doublée grâce aux DLC Options graphiques plutôt sympathiques Les moins La caméra toujours aussi désagréable Des soucis de connexion obligatoire Nous n'aurions pas été contre l'ajout des voix japonaises Pas de version boîte

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GamerGen Les plus Couper, trancher, décortiquer tout et n'importe quoi Mise en scène à couper le souffle Une ambiance très jap'animation Un Metal Gear façon Beat'em All L'esprit global de la série conservé Les moins Trop, trop court La caméra fatigante Petit temps d'adaptation pour la prise en main

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Gamespot The Good The fast-paced combat excites your reflexes Depth and accessibility coexist in harmony Decimating environments is a guilty pleasure that never gets old Raiden's intriguing personal story justifies his return to the spotlight The Bad Occasional camera issues can be distracting Most environmental palettes lack variety The predictably political plot fails to excite

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