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Rocket League

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Développé et édité par Psyonix, Rocket League est un jeu mêlant foot et voitures personnalisables. Suite spirituelle de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars, premier jeu du studio, Rocket est sorti initialement le 7 juillet 2015 sur PC et PS4. Le jeu s’est rapidement fait une petite notoriété en étant offert aux membres PS+, et ne cesse de charmer toujours plus de joueurs au fil du temps. Après une entrée sur One en février 2015, le titre passe finalement par la case Nintendo Switch le 14 novembre 2017, l’occasion pour ConsoleFun  de revenir sur ce titre atypique !

 

Pour ce qui est du portage Switch

 

 

Après avoir étudié la question, Psyonix répond finalement présent sur Nintendo Switch, avec un portage somme toute assez propre. L’attente se constituait principalement autour des performances de la console : pourrait-elle permettre la fluidité optimale au bon déroulement des parties, à côté des versions PC/PS4/Xbox One ?

 

Et bien heureusement, la réponse est oui ! Rocket League tourne constamment à 60fps sur Switch, peu importe l’action qui se déroule à l’écran –et il faut dire que la vitesse de jeu est toujours de mise. Cette fluidité est permise grâce à une résolution dynamique, qui varie entre 480 et 720p, selon les cartes et l’action. On reste globalement autour des 1024*576, ce qui est bien faible comparé à ce dont on dispose sur les autres plateformes. Aliasing et effet de flou sont présents, et en plus de ça il est difficile de jouer en multijoueur en mode portable, la faute à la taille de l’écran en splitté.


Cette version Switch privilégie la fluidité à la résolution.

 

Cette version Switch propose l’ensemble des modes de jeu et du contenu gratuit disponible jusque-là, ne comprenant donc pas les DLCs. On retrouve par ailleurs quelques exclues liées aux licences Nintendo, comme les voitures Mario et Metroid, qui sauront titiller la fibre de Nintendo-addict en vous.

 

On est donc globalement sur un portage de bonne facture, même si visuellement le titre reste plus beau sur PC/PS4 et One : la fluidité est mise à l’honneur, ce qui permet de conserver une formule de gameplay aussi précis et intense qu’addictif. Rocket League demeure ce jeu multi qui ravira vos soirées, et cette mouture Switch vous permettra enfin de faire vos parties classées dans le bus.

 


Le contenu exclusif à cette mouture Switch ravira les fans de Nintendo.

 

 

Des ingrédients simples pour une recette gagnante

 

 

 Le principe de Rocket League est assez simple : deux équipes de voitures, un gros ballon, une arène close aux angles arrondis, des cages, et des voitures. Si l’ensemble peut paraître surprenant, on a là la recette d’un cocktail détonnant, et addictif ! Chaque partie dure cinq minutes, avec des prolongations en but en or si l’égalité règne lors du coup de sifflet final.

 

On se déplace soit en caméra libre, soit en ciblant le ballon. Vous pouvez récupérer du boost sur des spots disséminés un peu partout dans l’arène, remplissant une jauge, et à utiliser quand vous le voulez. Les chocs entre voitures feront parler la loi du plus fort, allant jusqu’à provoquer des explosions lorsque vous percutez un ennemi avec suffisamment de puissance, chaque explosion étant suivie d’un respawn très rapide, diminuant le côté punitif de la chose.

 

Les possibilités sont simples mais nombreuses : double saut, dérapage ou encore salto dans tous les sens constitueront autant d’actions qui viendront dynamiser les parties, et les maîtriser sera la base de votre expérience de jeu ! Un mode entraînement assez complet est d’ailleurs disponible, de quoi s’assurer que l’on est prêt à passer au cœur du jeu : les matchs.

 


Le mode entraînement vous apprendra tout ce qu’il y a à savoir : bases et techniques avancées.

 

Si le titre propose des matchs d’exhibition ainsi qu’un mode Saison où l’on peut jouer contre des IAs, on viendra vite à bout de ces adversaires au fonctionnement assez limité : la façon de jouer des IAs est très prévisible, et ces bots se montreront peu performants, que ce soit en tant qu’alliés ou en tant qu’ennemis.

 

On se dirigera alors vers de vrais joueurs, aussi bien en ligne qu’en local ! Jusqu’à 4 en splité et jusqu’à 8 en ligne, parties classées ou pas, matchs privés modes injustes (1v2, 1v3, 1v4), on a de quoi faire varier les plaisirs et il y en a pour tous les goûts. Les modes classiques, 1v1, 2v2, 3v3 et 4v4 auront chacun des stratégies qui leur seront propres, et que l’on apprend à maîtriser en expérimentant. Vaut-il mieux garder un goal en 2V2 ou tenter une approche différente ? Vaut-il mieux jouer l’engagement ou tenter un contre bien placé ?

 

Le gameplay de Rocket League s’avèrera finalement très précis et maîtrisable, et l’on aura par exemple une satisfaction terrible lorsque l’on maîtrisera les frappes aériennes et autres envolées spectaculaires. A ce niveau, Rocket League fait un sans-faute : le fun est présent dès les premières minutes de jeu, et la marge de progression est très large, permettant à la découverte de laisser peu à peu place à compétition. On a droit à un replay après chaque but, et l’on peut sauvegarder le replay d’un match pour le regarder plus tard : une bonne façon d’immortaliser vos meilleurs actions !

 


Le jeu prend tout son sens lorsque l’on s’y adonne à plusieurs !

 

 

Du contenu en veux-tu en voilà

 

 

Histoire de dorloter ses joueurs, Rocket League leurs fournit du contenu à foison : les arènes sont très classes, passant d’une arène en jardin sous un magnifique soleil à une arène de pluie, puis une autre où l’on s’affrontera de nuit ; les décors sont vraiment plaisants et apportent toujours une sensation de foot de rue très compétitif, avec une mention spéciale pour l’arène Wasteland dont les deux côtés sont penchés, le ballon tombant irrémédiablement dans l’un des buts si l’on a le malheur de ne pas s’en occuper.

 

Mais la majorité du contenu concerne la personnalisation des véhicules : avec des dizaines d’éléments à débloquer au fil des matchs, qu’il s’agisse des châssis de voitures, des roues, de la peinture, de l’antenne, des stickers ou encore du chapeau, le jeu propose du contenu à foison et  les possibilités sont astronomiques.

 

De plus, comme chaque titre arrivant avec un peu de retard sur Xbox One, on a du contenu exclusif : ici, deux voitures exclusives à l’image des sagas Halo et Gears of War, un clin d’œil qui, s’il est assez maigre, reste sympathique. Mais surtout, cette version Xbox One embarque d’emblée les DLCs Supersonic Fury, Revenge of the Battle-Cars et Chaos Run ! Seule la DeLorean manque à l’appel, le DLC Back to the Future™ Car Pack étant vendu séparément pour 1€99.

 


Le garage vous permettra de personnaliser votre véhicule selon vos goûts.

  • JOUABILITÉ

    17

    Contrairement à ce que l’on pourrait attendre, Rocket League fait preuve d’un gameplay très précis. Facile à apprécier, difficile à maîtriser, le gameplay saura récompenser les plus aguerris !

  • GRAPHISMES

    15

    Plein de couleurs, le jeu propose des effets assez sympathiques, notamment au niveau des trainées lâchées par les voitures lorsque l’on utilise le boost. Les décors sont plaisants, et le jeu de couleur bleu/orange vient renforcer l’aspect compétitif qui fait rage dans chacun des matchs. Cette version Switch se montre toutefois moins belle que sur les autres plateformes, privilégiant la fluidité au rendu visuel.

  • BANDE SON

    15

    Sans être spécialement exceptionnelle, la bande-son regroupe des bruitages et des chansons de qualité, même s’il est regrettable de n’entendre ces dernières que sur le menu principal.

  • DURÉE DE VIE

    18

    Addictif à souhait, avec du contenu déblocable à foison et une marge de progression impressionnante, Rocket League constitue le parfait petit jeu à jouer entre amis : le format 5min ainsi que les classements saisonniers rendent le tout compétitif et l’implication du joueur n’en est que plus grande.

  • Points positifs

    • Un gameplay étonnamment précis
    • Une pléthore de contenu
    • La marge de progression
    • L’aspect compétitif
    • Rocket League jouable n’importe où
  • Points négatifs

    • Le solo offline, qui a peu d’intérêt
    • La résolution plus faible que sur les autres plateformes

Conclusion

Rien ne sert de courir quand on a une voiture : Rocket League a su prouver l’efficacité de son concept atypique, et ce n’est pas ce portage Switch qui nous fera dire le contraire. Dynamique, coloré, le titre nous fait enchaîner les parties et l’on prend plaisir à participer à la compétition. Seule la partie solo offline souffre d’un léger manque d’intérêt, un défaut vite rattrapé pour qui aime faire le show, ou qui aime tout simplement se défouler en ligne. Jouer le ballon avec sa voiture Mario est désormais possible, où que vous soyez, Switch en main.

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Commentaires (2)

author DamsPik 25/11/2017
18:06
Dommage pour la résolution du jeux. En tout cas je compte me le prendre!
author manire 02/12/2017
15:48
Je ne joue pas généralement a ce genre de jeu, mais mon ami m'a convaincu d'obtenir celui-ci. Après l'avoir joué pendant 10 heures au total, je l'ai trouvé extrêmement bien.


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