À partir d’aujourd’hui, Sakura Wars part à la conquête de l’ouest sur PlayStation 4 ! Le mangaka Tite Kubo a participé à la création du titre, accompagné d’autres grands noms de l’industrie.
 

Alors si vous ne savez pas ce qu'il se cache derrière ce doux nom de Sakura Wars.... on va vous raconter un peu l'histoire du jeu.

Vous allez pouvoir plonger dans une version alternative des années 1940 à Tokyo. La technologie Steampunk alimente tout, des transports en commun aux maisons en passant par les structures qui bordent les rues.  Au cœur de la ville se trouve le Grand Théâtre Impérial. Ici, les stars de l’établissement chantent et dansent pour divertir leur public, leur permettant ainsi d’oublier leurs tracas et d’élever les esprits collectifs.  Mais en réalité, dans les coulisses, ces acteurs participent à quelque chose de bien plus grand. Ils servent la Brigade des Fleurs, une unité de combat secrète affiliée à la troupe impériale, protégeant Tokyo. Ils combattent depuis l’intérieur de mechas géants, alimentés par l’énergie spirituelle accrue que possède chaque pilote. Cependant, ils ne sont plus la prestigieuse troupe qu’ils furent autrefois, et sont confrontés à un démantèlement.

 

Un ensemble de défis exigeants se profile à l’horizon. En incarnant le capitaine Seijuro Kamiyama, vous dirigerez cette équipe inexpérimentée. D’autres troupes de combat prouvent qu’elles sont meilleures. Le grand théâtre impérial, votre quartier général, est en pleine perte d’argent. Pire encore, des hordes de forces démoniaques se dirigent vers Tokyo profitant de la fragilité et de la vulnérabilité de ces temps incertains. C’est à vous de forger des relations solides et significatives avec les membres de votre équipe. Il faudra prouver que la Brigade des Fleurs est capable de défendre Tokyo lors des Olympiades Interbrigades, et éliminer ces démons afin de réinstaurer la paix dans le monde. 

A l'occasion de sa sortie, nous vous proposons de découvrir la bande-annonce de lancement ci-dessous.
 

*Le jeu est disponible sur AMAZON.FR, voir ce lien