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Ce n’est pas la taille qui compte, c'est ce qu'on en fait Raphaël

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Oui, cette fois-ci, je m’attaque à mon tout premier jeu vidéo sur lequel, j’ai eu la chance de mettre les mains. Au-delà, de découvrir la joie de jouer sur la télé du salon, c’est aussi le plaisir de jouer avec mes héros préférés, à savoir les Tortues Ninja. Il faut savoir, qu’à l’époque, je kiffe regarder tous les épisodes de dessin animé éponyme de 1989. Comme tout à chacun, j’ai ma tortue préférée, Leonardo. Il respire la classe et le respect, et vous m’excuserez un ninja, ça se bat avec un sabre et pas avec un manche à balai ou autres rasoirs 3 lames.

Donc, la découverte du jeu est très vite calmée par la perte de ma première tortue, en plus, il s’agit de Léonardo. Bon, je recommence, je suis ébloui par la qualité du jeu, les tortues sont largement reconnaissables et chacune a des forces et des faiblesses propres à leurs armes. Alors qu’on soit clair, les faiblesses sont, tout simplement Raphaël et ses saïs avec une longévité proche du néant, et Michelangelo avec son arme pas beaucoup plus intéressante. Très vite, quand je joue une partie, je les utilise en premier afin d’économiser les deux autres tortues. Car la force vient vraiment de Leonardo, qui a une arme rapide et une hit box vraiment correcte. Et, je finis par Donatello qui est tout simplement le personnage que j’utilise pour battre les boss, car son arme a vraiment une allonge importante, et en plus, elle prend deux fois plus d’énergie à l’adversaire, en comparaison de ses frères.

Donc, concrètement le jeu, c’est quoi ? On découvre le jeu avec une vue de dessus, cela fait office de carte, mais si on ne fait pas attention, on peut perdre de l’énergie, voir une vie. Quand nous rentrons dans des égouts ou dans un bâtiment, le jeu passe vue de profil et devient un mix de plate-forme et de beat them all. Comme dit plus haut, on peut choisir sa tortue avec le menu pause. Comme il y a quatre tortues, on peut les associer à quatre vies. Il est bien sûr, possible de switcher entre les différents protagonistes au milieu d’un niveau. Après, le jeu fait du fan service à fonds, les pizzas redonnent de l’énergie, on se bat contre Bebop et Rocksteady dans le premier niveau. Bon, il faut aussi le dire, le jeu est dur, très dur. Pour un gamin de 8ans qui veut juste retrouver ses héros préférés dans un jeu vidéo, c’est assez punitif. Ce n’est pas pour rien que JDG ou autres vidéastes et critiques en parlent. Ce jeu nous a marqué.

Il a marqué tout une génération car il représente la frustration due à sa difficulté, mais aussi de la joie, on joue aux Tortues Ninja bordel… Pour ma part, de très bons souvenirs et je prends encore plaisir à le relancer de temps en temps. Je le conseille à tous les nostalgiques qui veulent découvrir l’histoire trépidante du jeu vidéo.

Note des membres

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Commentaires (1)

author Titiboy 14/05/2021
19:19
Un jeu inoubliable !